Les discussions tourneront autour des sujets suivants : Le plan d’action stratégique 2024 -2029; la décarbonations de l’industrie maritime notamment la réduction des gaz à effet de serre émis par les navires ; l’utilisation des technologies et des carburants substitutifs ; le bien être des gens de mer en incluant le personnel des navires de pêche ; le développent des capacités dans les pays les moins avancés ; une représentation équitable des postes au niveau du secrétariat général.
« Cette présence témoigne de la volonté du Togo de devenir un centre maritime majeur », a indiqué le ministre de l'Économie maritime.
L'OMI, en tant qu'agence spécialisée des Nations Unies, a pour mission d’assurer la sécurité et la sûreté des transports maritimes tout en prévenant la pollution des océans et de l'atmosphère causée par les navires.
Les travaux de l'OMI contribuent également à la réalisation des Objectifs de développement durable des Nations Unies.
Les transports maritimes internationaux jouent un rôle essentiel en acheminant plus de 80 % du commerce mondial. Ils représentent le moyen de transport international le plus efficace et économique pour la plupart des marchandises, offrant une solution fiable et abordable pour le transport de biens à travers le monde.
Ce système facilite le commerce et contribue à la prospérité des nations et des peuples.
Le Togo, en tant que pays côtier de l’Afrique de l’Ouest, possède un potentiel significatif pour développer son secteur maritime. Avec un port moderne et bien équipé à Lomé, la capitale, le pays est idéalement situé pour devenir un centre de transbordement majeur dans la région. Cette ambition s’inscrit dans le cadre de la vision plus large du Président Faure visant à promouvoir le développement économique et à attirer des investissements étrangers.
Le gouvernement togolais a pris plusieurs mesures pour améliorer l’efficacité du port de Lomé et renforcer sa compétitivité sur le plan international. Des investissements importants ont été réalisés dans les infrastructures portuaires, y compris l’extension des quais et l’amélioration des services connexes. En outre, des réformes réglementaires ont été mises en place pour faciliter les procédures douanières et réduire les délais de transit.