Une attention croissante est portée à la conservation de la biodiversité à travers la protection des parcs nationaux, des zones humides et des écosystèmes fragiles.

Des mesures sont prises pour éviter la déforestation, la perte des habitats naturels et la disparition des espèces menacées. Les dirigeants mettent en œuvre des politiques de gestion durable des ressources naturelles, notamment des forêts, de l'eau et des terres agricoles.

Le pays investit plusieurs milliards de francs CFA dans les énergies renouvelables pour réduire sa dépendance aux combustibles fossiles et promouvoir un développement énergétique durable. À ce niveau, des projets de développement des parcs solaires, des centrales hydroélectriques et d'autres installations peuvent être cités.

La gestion des déchets est également assurée. Le Togo a mis en place des programmes de collecte, de tri et de recyclage des déchets. Sans oublier de citer les initiatives communautaires qui sensibilisent pour la réduction des déchets et de la protection de l'environnement.

Justement, la sensibilisation est l'une des techniques utilisées pour encourager des comportements plus durables comme le recyclage et la protection des ressources naturelles.

L'État a aligné ses priorités nationales de développement sur ses engagements climatiques. Actuellement, le Togo fait partie des pays qui émettent le moins de gaz à effet de serre (GES).

Lors de la 26e Conférence des parties sur le climat (Cop 26), les dirigeants ont annoncé l'ambition de porter ses contributions déterminées au niveau national (CDN) de 11,14 % à 20,51 % à l'horizon 2030, conformément aux objectifs de l'Accord de Paris en matière de limitation du réchauffement climatique en deçà de 2 °C, voire 1,5 °C.

Diminuer son empreinte carbone est un autre objectif du Togo. C'est pourquoi il tient à augmenter la part des énergies renouvelables à hauteur de 50 % dans le mix énergétique d'ici à 2030, ce qui le rendra plus vert et écoresponsable.