Cette remise de peine, effective aussitôt, concerne essentiellement des condamnés en fin de peine, écroués à Lomé (216 détenus), Atakpamé (75) et Notsè (61).
La mesure, régulièrement prise par le chef de l’Etat, s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la politique pénale de désengorgement des établissements pénitentiaires du pays.
Il y a six mois, 364 détenus, incarcérés dans 12 prisons avaient ainsi recouvré leur liberté.