Lomé, qui elle-même a pu être qualifiée de musée Paul Ahyi à ciel ouvert, tant la capitale du Togo recèle d’éloquentes et expressives touches d’époque, qui témoignent aujourd’hui encore de l’empreinte du maître !

Indélébile pourrait s’appliquer à ce lien dont la trame unit le passé et le présent, l’individu et la nation, l’explicite et l’insoupçonné dans un ballet harmonieux dont chaque mouvement ramène à Paul Ahyi, fils du Togo, fils d’Afrique qui, plus que tout autre, a su figer dans les matières, les couleurs, les textures et les techniques l’essence de la création, Agnassan, le cerveau, l’intelligence, la créativité…

Ce musée qui lui rend hommage et perpétue son legs éternel mérite d’être soutenu pour faire rayonner davantage au firmament des nations l’étoile blanche qui scintille dans le drapeau du Denyigban.

Ici, chaque mur rappelle le génie éternel du maître, chaque pièce exhale un fragment d’âme, et chaque œuvre revendique une histoire unique…

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