La mesure s’inscrit dans le cadre de la relecture en cours du Code minier, en vue de l’adoption d’un nouveau texte plus adapté aux enjeux actuels. Elle vise à mieux encadrer l’exploitation des ressources naturelles.
“Il s’agit d’une pause stratégique, le temps de doter notre pays d’un cadre juridique plus adapté, plus rigoureux et tourné vers la durabilité, la transparence et l’inclusion”, a indiqué le ministère, avant de préciser que “les matériaux de construction et les minéraux industriels sont exclus de cette mesure suspensive”.
Pour rappel, le Code minier en vigueur, date de 1996 et a été modifié en 2003. Jugé obsolète face aux évolutions du secteur et aux standards internationaux, il fait l’objet d’une relecture visant à l’adapter aux enjeux contemporains.