Plus qu’une simple compétition de football, ce tournoi s’impose comme une plateforme d’éducation citoyenne et d’engagement des jeunes pour un Togo fort et uni sous les principes de la 5ᵉ République.

La cérémonie de lancement dudit tournoi a été présidée par le préfet de l’Ogou, Kodjo Agbeko Noël Ekpé, accompagné de plusieurs figures influentes, parmi lesquelles on notait la présence de l’honorable député Michel Yaouvi Ametodji, le secrétaire préfectoral du parti Unir, Delefon Dossou, le deuxième vice-président conseil régional Adjonou Kassegne, le maire de la commune Ogou 4, des conseillers municipaux et une foule enthousiaste de supporters et jeunes joueurs.

Le militant Delefon Dossou, secrétaire préfectoral du parti Unir, a insisté sur le rôle du sport dans la construction d’une jeunesse responsable et engagée.

« Le football n’est pas qu’un simple jeu. Il est un miroir de la société, un terrain d’apprentissage des valeurs essentielles telles que la discipline, le respect des règles, la solidarité et l’esprit d’équipe. À travers cette compétition, nous voulons inculquer à la jeunesse de l’Ogou les fondements du civisme et du patriotisme. »

Le secrétaire Préfectoral a également souligné que la 5ᵉ République, portée par des réformes majeures, mise sur une jeunesse consciente et impliquée dans le développement du pays.

« Chaque match est une leçon de vie. L’unité d’une équipe, son respect des règles, sa combativité pour la victoire reflètent exactement les principes de notre République. Nous devons apprendre à jouer ensemble, à nous soutenir et à construire, sur et en dehors du terrain, un Togo prospère et harmonieux. ».

Le premier match, qui a opposé l’Union Sportive de Datcha à l’équipe Essogbé de Ountivou, a offert une belle illustration de cette philosophie. Dans une ambiance électrique, Ountivou s’est imposé 2-1, montrant un mental de vainqueur et une solidarité exemplaire.

Ce tournoi réunit des équipes issues de huit cantons de la préfecture de l’Ogou quu sont Ountivou, Akparé Katore, Datcha, Gléi, Gnagna, Houdou et Djama.  

Pour Florent Wallar, promoteur de la Coupe Unir Ogou 2025, le sport est un levier puissant pour bâtir une société fondée sur des valeurs citoyennes solides.

“Nous voulons faire du football un véritable outil de transformation sociale. Les jeunes qui participent à ce tournoi ne sont pas seulement des joueurs, mais des futurs leaders. En leur inculquant des valeurs telles que le fair-play, le respect de l’adversaire, la discipline et l’engagement collectif, nous préparons une génération capable de bâtir un Togo uni et prospère”. 

Il a également rappelé que l’organisation de ce tournoi vise à rapprocher les jeunes, à briser les barrières et à créer un climat de fraternité à l’échelle locale.

« Au-delà du trophée, chaque joueur repartira avec des leçons de vie. Nous voulons que cette compétition inspire un esprit de responsabilité, en démontrant que chacun a un rôle à jouer dans le développement de son pays, comme sur le terrain où chaque joueur a sa place et sa mission. », a-t-il indiqué.

Dans le contexte politique et institutionnel actuel, la 5ᵉ République togolaise prône une nouvelle dynamique où jeunesse, unité et engagement citoyen sont des priorités. Cette compétition sportive illustre parfaitement cet engagement à travers :

✔ Le respect des valeurs républicaines : respect des règles, discipline et esprit de justice, essentiels dans le football comme dans la vie.

✔ L’unité et la cohésion sociale : un tournoi qui rassemble plusieurs cantons, renforçant les liens entre les jeunes de différentes localités.

✔ L’implication active de la jeunesse : chaque joueur est un acteur du changement, apprenant à se battre pour un objectif collectif.

Avec cette Coupe Unir Ogou 2025, les jeunes footballeurs ne jouent pas seulement pour un trophée, mais pour incarner une vision, celle d’un Togo solidaire, uni et tourné vers l’avenir.

La compétition ne fait que commencer, mais déjà l’engouement est à son comble. Qui sera sacré champion Unir-Ogou 2025 ?

Les prochains matchs nous promettent encore plus d’émotions et d’engagement !

Jean-Marc EDRON