Le 8 février 2025, les militants et sympathisants du parti dans la préfecture de l’Ogou ont tenu une réunion stratégique pour affiner leur plan de bataille en vue du scrutin du 15 février. Dans une ambiance de détermination et de mobilisation générale, les échanges ont permis d’évaluer les enjeux de cette élection historique et de définir les actions à mener pour garantir un succès éclatant dans la préfecture.
L’installation du Sénat constitue une nouvelle page de l’histoire institutionnelle du pays. Pour la ministre et cadre du parti, Yawa Kouigan, cette élection est « un rendez-vous avec l’histoire », marquant l’entrée du Togo dans une nouvelle ère politique. La mise en place de cette chambre haute, qui viendra compléter le dispositif parlementaire, est une avancée majeure dans l’organisation du pouvoir sous la 5ᵉ République.
Les sénateurs auront pour mission d’examiner les lois votées par l’Assemblée nationale, de représenter les collectivités locales et d’assurer une continuité institutionnelle essentielle au bon fonctionnement de l’État. À cet égard, Unir Ogou entend bien envoyer des représentants compétents et engagés pour défendre les intérêts de la préfecture et contribuer à la mise en œuvre des réformes en cours.
Lors de cette rencontre, les candidats investis par Unir pour ces sénatoriales ont été officiellement présentés aux militants. Des consignes de vote ont été rappelées aux grands électeurs, notamment les conseillers municipaux et régionaux, qui auront la lourde responsabilité de choisir les sénateurs parmi les 41 élus que comptera la future chambre.
Le parti a également dévoilé son programme de campagne, qui s’étendra sur les quatre communes de la préfecture. Objectif : mobiliser massivement les électeurs et garantir une victoire nette au soir du 15 février.
À l’issue de cette élection, le Sénat togolais comptera 61 membres, dont 41 élus au suffrage indirect et 20 désignés par le chef de l’État. Cette configuration permettra d’assurer une représentation équilibrée entre les collectivités locales et l’exécutif.
Dans ce contexte, Unir Ogou veut jouer les premiers rôles et s’assurer d’une présence forte au sein de cette nouvelle institution. Avec une stratégie bien rodée et une mobilisation sans faille, le parti est déterminé à faire triompher ses couleurs et à s’imposer comme une force incontournable dans la future chambre haute.
Cap sur le 15 février : Unir Ogou est prêt pour la victoire !
Jean-Marc EDRON