En effet, au prix d'importants investissements l'université de Lomé a complètement été rénové passant d'un lieu ouvert aux vents et parfois à l'insécurité à un lieu où il fait bon étudier avec des bâtiments neufs qui poussent un peu partout. Ces avancées sont le fruit de la vision du gouvernement sous la haute impulsion du PR, SEM Faure Essozimna Gnassingbé. Cette université est aujourd'hui classée par le classement Unirank comme la deuxième meilleure de l'espace francophone. Le classement est connu et accessible de tous. Ce n'est pas pour rien que l’OMC en a fait le centre d'accueil de ses cours pour toute l'Afrique francophone et a décidé d'y installer une chaire. Il faut être aveugle ou sacrément de mauvaise foi pour ne pas voir ces transformations.
Bien évidement cette transformation s'est accompagnée d'une amélioration des aspects pédagogiques et académiques avec le renforcement des ressources humaines enseignantes et la formation de ceux-ci. Les différents résultats obtenus lors des concours d'agrégation sont une preuve palpable de ces efforts collectifs.
Par ailleurs, le gouvernement a entamé avec détermination une déconcentration de l'enseignement supérieur avec l'université de kara qui a déjà vingt ans d'existence. Cette université est aujourd'hui en train d'être dotée de bâtiments aux standards internationaux pour la faculté des sciences de la santé et pour l'institut des métiers de l'agriculture. A ne pas oublier l'université de Datcha qui est en construction et qui va venir poursuivre l'ambition de multiplier les pôles universitaires dans notre pays.
Face à ces réalisations, des esprits mal intentionnées et qui veulent uniquement faire leur propre promotion viennent de se réveiller pour venir soit disant faire un bilan qui en fait est un ramassis de faussetés qui ne peut tromper que les esprits faibles. Il faut que les soit disant syndicalistes apprennent d'abord à savoir quelle est leur mission par exemple faire des propositions pour que collectivement les défis soient relevés. Au lieu de cela, en bons apprentis politiciens à la solde de leur propre cause, ils préfèrent lancer des invectives.
L'université publique togolaise se porte bien, se transforme et va continuer à grandir. N'en déplaise aux esprits chagrins et aux oiseaux de mauvais augures.
Les cinq caractéristiques de la politique de soutien aux étudiants prônée par le gouvernement sous la haute impulsion de SEM Faure Essozimna GNASSINGBE conformément à sa volonté de ne laisser personne de côté :
- l'augmentation considérable des montants alloués chaque année aux boursiers et l'augmentation des bourses de coopération. Au plan national, le montant alloué est passé de 10 à 15 milliards tandis que le nombre de bénéficiaires de bourses de coopération a quasiment doublé
- Ensuite tout étudiant nouvellement inscrit bénéficie d'une allocation de base permettant de soutenir ses dépenses.
- l'accent particulier mis sur le travail et l'excellence qui soumet le maintien des bourses aux performances des étudiants car il est nécessaire d'encourager les meilleurs de nos jeunes
- la réorientation des bourses vers des formations prioritaires pour l'économie comme les sciences de l'ingénieur, la médecine, l'agriculture. Ceci autant au niveau national qu'avec nos partenaires.
- la mise en place d'un engagement de retour ou de service au profit de l'Etat dès lors qu'on bénéficie d'une bourse.
Le dispositif de bourse qui est mis en œuvre dans un contexte de massification répond à la volonté d'encourager les étudiants et de les mettre au service du progrès économique. À la fin, c'est notre pays qui gagne !