Portant un message de renforcement de la démocratie et de la bonne gouvernance, les candidats du parti appellent les grands électeurs à faire un choix décisif pour l’avenir du pays.
L’UFC insiste sur la nécessité d’un Sénat qui ne soit pas une simple chambre d’enregistrement, mais un véritable espace de réflexion et de propositions en faveur des régions. « Notre pays a besoin d’une institution qui défend les territoires et qui veille à ce que la décentralisation soit une réalité tangible pour nos populations », a déclaré l’un des candidats.
Les sénateurs de l’UFC s’engagent ainsi à travailler pour une meilleure répartition des ressources, la promotion des infrastructures locales et le renforcement des pouvoirs des collectivités territoriales afin de répondre efficacement aux attentes des citoyens.
L’UFC aligne des personnalités enracinées dans leurs communautés et prêtes à défendre les intérêts des populations locales :
AGOÉ-NYIVÉ : TOMI Kokouvi Emmanuel Vivien (siège 2)
GOLFE : AHOOMEY-ZUNU Gaëtan Doh Mawukplonam (siège 1)
AVÉ : ADZOYI Kodzotsè
BAS MONO : AFANGBEDJI Komlanvi Sédoufia
VO : GALLEY François Agbéviadé
ZIO : AHOLOU Kokou Adjéoda
Ces candidats mettent en avant leur expérience et leur proximité avec les réalités locales pour proposer des solutions adaptées aux défis de chaque région.
Face aux grands électeurs, l’UFC plaide pour un choix réfléchi et tourné vers l’avenir. « Voter pour l’UFC, c’est opter pour un Sénat dynamique, capable de jouer pleinement son rôle dans la consolidation de notre démocratie et la défense des collectivités locales », a martelé un des porte-paroles du parti.
Avec cette élection historique, le Togo ouvre un nouveau chapitre de son histoire politique. L’UFC, par son engagement et sa vision, espère y inscrire son empreinte en apportant une contribution significative au développement du pays.
Jean-Marc EDRON