Dans un communiqué en date du 06 janvier 2021, la CENOZO estime que cette citation à comparaître est une manœuvre d’intimidation du journaliste qui, pendant qu’il menait ses investigations avait déjà fait l’objet de menaces de mort dont la plainte devant la justice nigérienne est restée sans suite jusqu’à ce jour.
Ainsi, la CENOZO saisit l’occasion pour appeler les dirigeants du Niger au respect des conventions internationales sur la liberté d’expression et de presse et, la préservation du droit du journaliste.
Néanmoins, elle se tient aux côtés du journaliste et entend mettre en œuvre tous les moyens légaux pour assurer la défense de Moussa Aksar devant les tribunaux.
Assem Ange