Deux questions principales ont été abordées. Il s’agit du dialogue inter togolais et de la politique de paix, de réconciliation et de développement prônée par le Président de la République depuis son accession au pouvoir.
« Le processus des réformes ira cette fois jusqu’au bout. Notre souhait est que le dialogue permette à la classe politique de se rassembler autour d’un texte qui sera soumis au verdict du peuple. L’opposition représentée par la coalition des 14 partis doit également faire preuve d’ouverture pour une réussite du dialogue», a déclaré Dieudonné KABKIA, porte-parole de la section Unir Sénégal.
Le dialogue ouvert depuis le 19 février est suspendu par le facilitateur NanaAkufo-Addo, l'actuel président du Ghana.
La coalition des 14 partis politiques qui réclame le retour à la constitution 92 et aux droits de vote de la diaspora projette des marches dans les principales villes du Togo, la semaine prochaine, en violation du règlement intérieur du dialogue.